Mon 23 juillet 1999

J’étais au Carrefour des Livres à Casablanca, ce vendredi 23 juillet 1999, pour assister à une conférence sur la corruption au Maroc. Sion Assidon, fondateur de Transparency Maroc et Me Abderrahim Berrada parlaient, chacun à sa façon, de ce problème, dont on ne peut dire par ailleurs qu’il n’a guère reculé dix années plus tard: Sion de manière clinique, comme un médecin-légiste pratiquant l’autopsie d’un système politique nécrosé, et Abderrahim comme le tribun radical qu’il est tout autant que brillant pénaliste. Après la fin de la conférence, à laquelle avaient assisté une trentaine de personnes, je m’étais attardé pour discuter avec Marie-Louise Belarbi, hôtesse du lieu. Je m’étais vite enflammé, dénonçant non seulement le système en général mais personnalisant – dans les limites des lignes rouges – ma diatribe: « un poisson pourrit par la tête », avais-je dit, pointant l’index vers le haut dans un geste que reconnaissent les Marocains quand ils veulent désigner le véritable pouvoir sans oser le nommer ouvertement, un geste dont la similitude avec celui utilisé pour désigner la divinité est d’ailleurs parlante.

Bien sûr, je ne savais pas qu’au moment même où je disais ça, Hassan II était déjà mort. En quittant la librairie avec mon père, nous sommes rentrés directement à la maison, pour tout de suite être alertés par quelqu’un: la télévision publique ne diffuserait que des versets coraniques. Nous nous sommes doutés qu’un décès avait eu lieu, et je crois que c’est vers 18/19 heures que la confirmation officielle fût donnée sur RTM, avec retransmission quasi-immédiate de la cérémonie d’allégeance. Sous le choc, et je crois en l’absence d’Internet (je ne me rappelle plus très bien, mais je ne crois pas que nous étions connectés en 99), nous dînâmes en échangeant spéculations enfiévrées.

Habitant Mers-Sultan, non loin du rond-point éponyme et donc pas loin non plus de la place Mohammed V, il ne fallut pas longtemps – vers 22 heures je crois – pour entendre des clameurs. Bien entendu, je décidais de sortir, contre l’avis de mes parents – mon père s’était fait tabassé le 23 mars 1965, ne devant probablement sa survie qu’à la présentation d’une carte syndicale UMT barrée de deux traits rouges et verts qui avait sans doute fait croire au soldat qui le tabassait qu’il s’agissait d’un policier en civil ou autre représentant civil du makhzen. Depuis, le goût des manifestations populaires lui était passé.

Très rapidement, je vis des groupes de marcheurs reprenant chants et slogans à la mémoire du défunt Roi. La prédominance de femmes et de jeunes était frappante. Bien évidemment, pas un seul bobo en vue – l’impression la plus marquante de ces deux jours de deuil fût le deuil populaire, au sens premier du terme: le deuil des pauvres, la bourgeoisie étant absente du deuil tel que manifesté dans les lieux publics. Ceux qui étaient redevables à Hassan II du système politique et économique qui les favorise tant furent ceux dont le deuil ou l’émotion était la moins apparente. Par contre, ceux qui furent les premiers à souffrir d’un système économico-politique inique et brutal furent les plus démonstratifs dans leur affliction.

Je suivis un groupe mené par quelques femmes, de la place Mohammed V (ex-place des Nations-Unies) à la (nouvelle) place des Nations-Unies, pour continuer vers la place Oued el Makhazine et bifurquer vers le boulevard de la Gironde, le lieu de rassemblement spontané de tous ces groupes disparates semblant être l’esplanade de la Mosquée Hassan II. Je ne les suivis pas jusque là mais errais à travers le centre ville, suivant à distance les différents groupes qui marchaient. Je ne me rappelle plus à quelle heure je finis par rentrer chez mes parents, sans doute vers trois/quatre heures du matin.

Comme des dizaines de milliers d’autres Casablancais, je ne pouvais me résoudre à rester chez moi. Il me fallait sortir et participer au deuil collectif et sortir. En voiture avec mes parents, en route vers je ne sais plus où, nous fûmes bloqués, je crois au niveau d’Al Massira al khadra, par un cortège funéraire, composé comme toujours et partout à Casa ces deux jours-là par l’assortiment habituel de collégiens, diplomés-chômeurs, femmes au foyer, commerçants ambulants, gardiens de parking eet autres représentants du Maroc d’en bas. C’est à ce moment que j’ai pleuré. J’ai pleuré à un autre moment, mais c’était après les funérailles, en regardant un documentaire sur 2M je crois, avec des images du défunt du début des années 60.

Je ne sais pas au juste ce que j’ai pleuré. Je n’ai certes jamais été un républicain, mais j’ai aussi longtemps que je m’en souvienne été écœuré par la propagande du régime, ses crimes et son iniquité. J’ai toujours été allergique au Matin du Sahara, à la RTM, à Mustapha Alaoui et plus encore au libéraux prétendus qui défendaient et de=éfendent encore les crimes et iniquité du régime.

Pourquoi ai-je donc versé des larmes ? Je n’ai jamais été républicain, mais jamais royaliste (au sens littéral du terme) non plus – si je suis monarchiste, c’est que je manque d’imagination pour concevoir un autre système – républicain – pour le Maroc – à supposer qu’un système républicain soit souhaitable, ce dont je n’ai jamais réussi à me persuader en regardant vers le sud ou vers l’est – voire même vers le nord, tant les monarchies nordiques et du Benelux me paraissent plus démocratiques que les républiques latines ou d’Europe centrale. Le choix entre république et monarchie m’a toujours paru comme un faux problème, contrairement au choix entre la démocratie et l’autoritarisme.

Par atavisme familial, je n’ai jamais été un inconditionnel du régime. Mon père a toujours été sympathisant de la vraie USFP, pas le parti administratif qui s’est affublé de ce nom. Les amis marocains que j’ai connus étaient soit apolitiques soit de gauche (allant de la vraie USFP à l’extrême-gauche) soit islamistes (tendance frère musulman). N’ayant pas grandi au Maroc, je n’ai pas subi le matraquage scolaire, médiatique et symbolique sur la centralité et la sacralité du Roi. Par contre, comme souvent en diaspora, j’ai un côté nationaliste affirmé, sans doute en guise de compensation – mais c’est un nationalisme de la nation, pas du Roi.

Je n’ai aucun lien de parenté avec la famille royale. Au contraire, puisque des ancêtres portant mon nom ont eu maille à partir avec des sultans alaouites successifs, épisodes restés dans la mémoire familiale, et servant à expliquer chaque contretemps administratif ou politique connu par l’un d’entre nous, comme si des décennies et dizaines de dahirs de nomination n’avaient pas scellé une réconciliation depuis.

Je n’avais donc aucune raison particulière de pleurer, et à deux reprises en plus. Sans doute faut-il en chercher les causes dans plusieurs directions : le spectacle du lumpenproletariat casablancais faisant preuve d’une générosité étonnante (pleurer un Roi qui fît écraser dans le sang les révoltes populaires du 23 mars 1965 et du 10 juin 1981, et qui ignora superbement tout son règne durant la misère populaire), l’émotivité contagieuse, le rappel de la mort et du passage du temps (je n’avais connu aucun autre Roi du Maroc jusqu’à cette date). Mais c’est sans doute l’effet inconscient du discours médiatique, de la propagande institutionnelle et de la symbolique omniprésente de la monarchie : le Roi, présence de tous les instant et omnipotence reconnue jusque par ses opposants ; le Roi, Amir al mouminine, père de la nation – position soulignée par l’extraordinaire pratique discursive de Hassan II, et son fameux cha’ab al aziz. Surtout, c’est le sentiment du gâchis : un peuple pleurant un Roi qui l’avait ignoré et opprimé, un Roi ayant opprimé et ignoré un peuple très largement affligé à sa mort. La misère et la répression étaient-ils le résultat d’une méprise ? La seule réponse rationnelle est non, mais affectivement j’ai sans doute cédé à l’illusion.

La suite du samedi 24 juillet, je la passais dehors, à suivre les cortèges qui traversaient la vile pour se retrouver sur l’esplanade de la Mosquée Hassan II. Ca aussi, un symbole : le scandaleux rackett organisé lors de la collecte des fonds pour l’édification de la mosquée Hassan II en avait détourné les habitants de Casablanca. L’atmosphère était calme, presque bon enfant, avec les cortèges sonores s’asseyant pour se reposer, semblant fatigués mais arrivés au but, sans savoir quoi faire, ne voulant ni rentrer et ne sachant pas comment continuer. Me baladant sur le boulevard Moulay Youssef, une canette de Coca à la main, un gamin traînant derrière un cortège, assoiffé par le soleil de plomb, me demanda une gorgée, et je lui donnais ma canette.

Plus tard, je crois que c’était le dimanche matin sans en être sûr, je fus contacté par un collègue suédois – j’étais en vacances – qui se trouvait être remplaçant à Dagens Eko, l’émission d’actualités phare de Sveriges Radio, pour l’été. Il m’appela alors que je me trouvais sur l’avenue Hassan II, sous les arcades près de la place des Nations-Unies. J’acceptais de passer en direct, et il m’interrogea sur les réactions populaires, qui apparemment avaient marqué les observateurs étrangers. Pris dans l’ambiance du moment, je lui dis que le Maroc avait un régime autoritaire, mais que les réactions du peuple marocain étaient assimilables à celles des enfants d’un père brutal et violent – à sa mort, en dépit de tout, ils ressentiront souvent du chagrin, en dépit de tout. Juste au moment où j’étais interviewé, un groupe d’une vingtaine d’adolescents tentait de prendre d’assaut un bus, probablement dans l’espoir de se rendre à Rabat. Je courais après les gamins et le bus, comme plusieurs autres badauds, racontant essoufflé ce à quoi j’assistais – m’écoutant par la suite, à mon retour en Suède, cette séquence donnait l’impression d’une mini-émeute, impression totalement erronée bien évidemment.

Vinrent ensuite les funérailles : j’aurais du me déplacer à Rabat, mais je suis finalement resté à Casa, à suivre l’impressionnant cortège de dignitaires étrangers, les scènes d’hystérie collective de la foule, et la prière du mort dans son dénuement (bien que la tardivité de l’enterrement, près de 48 heures après la mort de Hassan II, n’est pas été très orthodoxe – et je me rappelle de la hâte du premier ministre d’autoriser rapidement la vente d’alcool quelques jours après les funérailles en dépit des 40 jours de deuil officiellement décrétés).

J’ai lu et entendu des commentaires sur les scènes de deuil populaire : émanant parfois d’ami ou connaissances foncièrement anti-régime, ils ne m’ont pas paru coïncider avec ce que j’avais vu lors de ces deux jours à Casablanca. Ces commentaires m’ont plutôt paru révéler l’impossibilité de reconnaître la popularité non seulement de la monarchie, mais du Roi défunt – de la même façon incrédule qu’ont de nombreuses personnes aujourd’hui à reconnaître la popularité de Berlusconi, George Bush, Sarkozy et autres satrapes, occidentaux ou orientaux.

Quelle leçon tirer de cette expérience ? La première, c’est de se méfier de la personnalisation de l’histoire et de la politique : dans le cas du Maroc, rient n’indique que le système makhzénien ait connue une mue déterminante ce 23 juillet 1999, principalement parce que cette mue relative avait commencé huit années plus tôt, avec les effets directs de la publication de « Notre ami le Roi » de Gilles Perrault : libération d’une majorité écrasante des prisonniers politiques, retour de nombreux exilés, fermeture de cet Auschwitz marocain (génocide en moins) que fut Tazmamart, libération de la famille Oufkir, puis enclenchement de la fausse alternance qui aura eu la peau de l’USFP.

Ce que nous vivons aujourd’hui est la poursuite de cette évolution : à la répression féroce des années de plomb, qui recouvrèrent presque trois décennies (1965-1991), succéda une domination généralement moins brutale que la précédente (plus d’assassinats, des répressions d’émeutes remises entre les mains de la police et non plus de l’armée, une censure préalable de la presse allégée), mais sans que les caractères fondamentaux du régime n’en soient affectés : répression violente des mouvements de protestation, fussent-ils pacifiques ; répression ciblée mais systématique de la presse indépendante ; procès politiques iniques ; législation anti-terroriste permettant les travestis de justice ; corruption endémique ; et surtout monopole institutionnel du pouvoir, dans l’absence d’autres contre-pouvoirs que la peur des émeutes, les pressions (trop rares) des bailleurs de fonds étrangers et la crainte du qu’on dira-t-on des quelques médias occidentaux s’intéressant au Maroc. Même la politique sociale – et il est indéniable que le Roi Mohammed Vi fait montre d’une fibre sociale, contrairement à son père – avait connu une inflexion dans les dernières années du règne de Hassan II, qui avait lancé dans les années 90 l’électrification tardive des campagnes et le raccordement à l’eau potable.
Si comme Abdallah Laroui on prend une perspective de long terme sur l’histoire du Maroc, l’héritage hassanien aura été de léguer un Etat fort, ayant finalement imposé le monopole de la violence à son profit (après des siècles de tentatives infructueuses, et prenant en compte que certains de nos voisins n’en sont toujours pas là), et rétabli un semblant d’intégrité territoriale. Mais en léguant cet Etat fort il aura aussi légué un système politique en phase de décomposition avancée, une société plus pauvre qu’elle ne le devrait au regard des ressources du Maroc, et une corruption érigée en institution.

Les hommes passent, les institutions demeurent.

30 Réponses

  1. En vrac :
    – contrairement à toi, je ne suis sortie que rarement du jour de l’annonce de la mort du roi au jour de son enterrement. Ce jour-là j’ai accompagné pour une course quelques membres de ma famille au porte du palais royal (côté faculté Med V des sciences) il n’y avait personne de ce côté-là contrairement à « bab souffara » où des tentes ont été installées.
    – par rapport à ce que tu as décrit sur les manifestations de deuil des différentes couches sociales, je viens d’écrire sur mon blog ce PS « c’est lors des funérailles de Hassan II que j’ai eu la démonstration éclatante que la psychologie du « marocain» est égnimatique pour ne pas dire insondable ! » C’est ma manière à moi d’exprimer mon étonnement face ce que jai pu constater.
    – effectivement les hommes passent les institutions demeurent surtout quand celles-ci sont plusieurs fois centenaires. Et même quand on croit les remodeler certains traits caratéristiques persistent (le cas de la France avec le système monarchique qui perdure sous d’autres aspects dans la république. Et la Chine avec l’adminsitration centralisée et hiérarchisée malgré l’abolution de l’empire).
    – pour la conclusion on est bien d’accord.

  2. Ah j’ai oublié de rajouter que j’ai été marquée par le fait que les gens aient pris d’assaut les épiceries. Comme quoi les Marocains ne font plus les stocks de matières de première nécessité chez eux.. Les commerçants qui cherchaient à fermer le plus rapidement possible. Les premières heures les gens ne savaient pas à quoi s’attendre.

  3. Rarement tu t’es livré autant 🙂

    Qu’est-ce tu foutais à courir derrière un bus ?! 😀

  4. « le Maroc avait un régime autoritaire, mais que les réactions du peuple marocain étaient assimilables à celles des enfants d’un père brutal et violent – à sa mort, en dépit de tout, ils ressentiront souvent du chagrin, en dépit de tout. »
    … « Mais en léguant cet Etat fort il aura aussi légué un système politique en phase de décomposition avancée, une société plus pauvre qu’elle ne le devrait au regard des ressources du Maroc, et une corruption érigée en institution.
    Les hommes passent, les institutions demeurent. »
    Je trouve ceci très révélateur. Je peux ne pas être d’accord sur certaines idées, ne pas avoir partagé les mêmes émotions ( pour info, j’ai pleuré également :), sans complexe ), mais ces extraits-résumé de ton texte me semble le principal aboutissement de tout diagnostic.

  5. Juste pour l’histoire, c’est ce jour que j’ai troqué ma sympathie pour la gauche, et l’uspf en particulier, pour une autre envers la monarchie comme meilleur modèle pour le peuple marocain.

    Le peuple m’a surpris. Et m’a donné une leçon, qui depuis n’a jamais été remise en cause.

    Je n’oublierai jamais les images d’une foule ralliant Casa à Rabat à pied juste pour assister à l’enterrement.

  6. […] Mon 23 juillet 1999 « Ibn Kafka’s obiter dicta – divagations d’un juriste marocain en… […]

  7. Bonjour,

    Je ne serai pas dans le sujet de votre message. Je passe vous lire occasionnellement.

    Puis-je me permettre de vous solliciter sur un sujet culturel. Il est des chants d’amour tragiques et grivois appelés et traduit en français par le mot « aïtas ». pourriez vous me dire où ces textes sont lisibles et sont-ils traduits ? Un exemple peut-être ?
    Référence : Rajae Benchemsi, Fracture du désir, ACTE SUD page 40.
    Cordialement
    Jean

  8. L’actualité du Maroc en trois Actes, une tragédie ?

    http://bougnoulosophe.blogspot.com/2009/07/schizophrenie-marocaine.html

  9. @Ik, le peuple qui a pleuré le défunt Roi qui a régné pendant 38 ans, était sincère, fidèle, affligé par la disparition du monarque et troublé par le vide qu’il laisse derrière lui. Il est question de l’un des fondements des sociétés humaines; le Maroc est le dernier qui dérogera à la règle. Les pauvres, la majorité démunie du peuple sont de plus, ceux qui accompagneront leur chef, leur guide et le père d’une nation qu’ils considèrent la leur, jusqu’à sa mort, peu importe qu’il soit Roi, Président ou Général, peu importe qu’ils aient connu la faim, la privation ou la souffrance. Ils sont ceux qui font l’histoire.

    De la même manière, on sait avec certitude aujourd’hui que les révolutions n’ont été ni bourgeoises, ni républicaines (et colonialistes), mais populaires et paysannes, et que si les Républicains autant que les Marxistes ont voulu répandre l’idée que les révolutions soient bourgeoises, il ne s’agissait en fait que d’une récupération de l’histoire qui continue de faire son chemin, afin de voler au peuple sa gloire et son histoire !

    @7didane ; votre opinion se respecte !

  10. @ IR : de quelle gloire et de quelle révolution tu parles? de pleurer Hassan II?

  11. Mounir: jeu, set et match…

  12. @Mounir, réagissant au billet d’IK quand il dit avoir été très surpris ou ému de voir  »ce peuple malmené » pleurer H2… j’ai voulu mettre en évidence ce principe indéniable ou universel et qu’un intellectuel trouve ironique ou révoltant, s’agissant du pouvoir qu’a un peuple, sous entendu non pensant, de soutenir un régime jusqu’au bout ou de le défaire.
    et pour le confirmer, j’ai fait référence aux révolutions que certains affirment ont été l’oeuvre de la bourgeoisie, sous entendue pensante et seule capable d’initier le changement… ou la révolution , une fausse vérité, que des historiens critiques ont pu largement démontrer en s’intéressant aux écrits des historiens Marxistes ou ceux de la révolution Française.

    ceci dit, il faut espérer que certains qui buttent encore sur le premier degrès du sens à donner aux évènements, puissent une fois de temps à autre dépasser ce stade, contenir leurs  »émotions » et avoir l’audace ou le courage d’accepter certaines vérités pourtant évidentes !

  13. @ IR moi, qui n’a pas dépassé la théorie marxiste, enfin, en terme révolution, je comprends les « traitres » de classe comme les appelle mon ami, mais de la faire comparaison, je veux bien comprendre!
    Si tu détiens la vérité, je suis capable de dépasser, la mienne, toute relative soit elle 🙂

  14. @Mounir, tu aurais pu garder le silence et ne pas aggraver ton cas ! tes arguments et ton style en général font concurrence au raisonnement du vendeur de cacahuètes lambda à la sortie du cinéma ! il n’est pas nécessaire de les rabaisser pour atteindre le degrès Zéro !

    sans rancune ! et je ne suis pas non plus très intérréssé par  »discuter » avec toi !

  15. Ibn Rochd: si le dialogue ne t’intéresse pas, suis ton chemin.

  16. Ibn Rochd (comme il porte très mal son nom) qui invoque les historiens marxistes pour soutenir le « délire » populaire (« hystérie » qui relève bien plus de Freud que de Marx ) ont croit rêver !

    J’oubliais qu’au Maroc, et sa schizophrénie proverbiale, l’oxymoron est roi (c’est le monarche véritable du lieu !) ; n’est-ce pas le pays, le seul sans doute, exception culturelle oblige, où existe des « communistes royalistes » et autres oiseaux rares (lol)

  17. @ik, de quel dialogue sagit-il quand on parle ce language de rue  »traitre de classe »…. ?!! je te rapelle que j’ai commencé par répondre très poliment à sa première question pleine de mépris, mais qu’il a remis ça lors de sa dernière réaction me poussant à qualifier ses sautillements de degré Zéro !

    je ne me retiens pas de dire ce que je pense de la médiocrité en règle générale, et surtout émanant de quelqu’un comme lui, qui ça fait des années joue au mouchard  »anti makhzen » sur la blogoma… mais aussi de mouchard entre blogs… tout en sautillant et manifestant une espèce de joie ou jubilation à chaque fois qu’il se passe un evènement impliquant une atteinte aux droits de l’homme au maroc !!! une philosophie qui carractérise pas mal de cerveaux en dessous du degré zéro, et se faisant passer pour des militants de la liberté et de la démocratie !

    Je m’excuse, mais y’en a marre de cette infantilisation des propos, des gens et des débats sur le maroc juste parceque ça ne cadre pas avec un cetain niveau de médiocrité qu’on veut nous obliger à accepter et peut-être adopter pour paraître démocratique ! veut veut pas, c’est ainsi que des crapules ou et des cancres ont petit à petit innondé le paysage au Maroc tout en se donnant des airs de quelqu’un !

    maintenant, je passe à autre chose… !

  18. @ IR : tu as bien fait de passer à autre chose, ce serait certainement plus interessant, … pour l’humanité 🙂

  19. @Nobo; tu n’as rien compris comme d’habitude ! pour la seconde fois, mon propos est de dire que les historiens Marxistes et républicains ont soutenu à tord le concept de révolution bourgeoise…. prétendu que c’est la bourgeoisie qui a fait la révolution… ets ils n’ont pas hésité à falsifier l’histoire et ecrire celle-ci qui a ouvert la voie aux hommes de l’état ou à la nomenclatura pour abuser du peuple, instrumentaliser la révolution, et jouir de privilèges sans pareil ! mon idée défend le peuple à contrario du Marxisme qui s’en est servi ! comme il n’est pas nécessaire d’etre communiste pour évoquer le pouvoir du peuple !

    en parlant d’historiens critiques, il fallait comprendre; qui ses sont attaqués aux thèses des historiens Marxistes ou républicains, soutenant cette thèse de révolution bourgeoise !

    maintenant, va voir ailleurs si j’y suis… , c’est trop compliqué pour toi ! ce qui t’interresse comme tes semblable, ce n’est pas de debattre des idées… qu’il faudrait commencer par comprendre, mais de t’attaquer aux personnes !

    Ik, je te dis que c’est pas fini…. !

  20. Ce post risque de devenir le feuilleton de l’été…2009

  21. Dis moi , mon pauvre Ibn Rochd tu pianotes d’un asile psychiatrique marocain ? Eh bien prompt rétablissement !

    Cela explique ton pseudonyme si mégalomaniaque , « Napoléon » étant déjà pris au sein de l’institution, et ça explique surtout le salmigondis que tu nous déverses là sans honte aucune…

    Depuis quand les historiens font l’Histoire, ils l’écrivent tout au plus, chacun avec plus au moins de talent, chacun avec une idéologie pour balise épistémologique…

    Et puis ne fait pas dire à Marx ce qu’il n’a jamais dit, cela montre simplment que tu ne l’as jamais lu , ce dont personne ne doute (lol)…

    Les vrais philosophes, eux, pourront toujours m’objecter que c’est « le maghzen » qui est un asile de fou à ciel ouvert. Et à cela je n’aurai rien à dire…

  22. @ IR : je ne sais pas pourquoi tu perds ton calme, personne ne t’a offensé. Quand on avance des idées, il faut s’attendre à ce que certains ne soient pas d’accord avec toi, et répliquent, en tout respect aux personnes, avec argumentation.
    Tu as commencé à citer la gloire et la révolution du peuple, la théorie marxiste, … en commentant le peuple qui est sorti pleurer Hassan II ( PS : voir mon premier commentaire ou je confie que j’ai pleuré Hassan ). J’étais dans mon droit de te demander si pour toi, pleurer le roi défunt, on est en mesure de parler de révolution ( étymologiquement signifie mouvement circulaire qui produit une rupture, et la sans aller aux autres définitions, marxistes, trotskistes, léninistes, maoïstes, … ). Les « traitres de classe », expression qui t’a peut être choqué, n’est autre qu’une définition de Marx d’une franche de la classe dominée qui s’allie à la classe opprimante ( le dernier terme n’est pas marxiste ). Aujourd’hui, la grille d’analyse marxiste, ma foi, n’est pas applicable dans le cas marocain, pour la simple raison qu’il n’y a pas de classes dans le sens de Marx. Un des sociologues marocains les plus réputés, Paul Pascon que IK apprécie notamment, avait démontré cela, notamment à travers sa théorie de société complexe.
    Tout ceci, ne répond pas à ma question principale, quelle relation entre théorie républicaine ou marxiste de la révolution bourgeoise ( en laquelle je croix toujours ) et ce qui s’est passé après le 23 Juillet 1999 à 17h?
    Concernant la théorie de K. Marx, j’ai toujours apprécié Marx l’économiste et non le politique. Le travail descriptif du capital, de la société industrielle capitalistique est la meilleure oeuvre marxiste ( et non marxienne, comme il l’a été d’ailleurs lui même, marxiste ). Marx n’a jamais donné de pistes politiques et n’a jamais été un stratège, il a certes mis en avant la lutte des classes, mais la théorie révolutionnaire marxiste n’a été mise en lumière qu’après, avec notamment Lénine. D’où mon attachement à Marx, l’économiste et non au marxisme-léninisme, ou encore mon attachement à la social-démocratie.

    Et juste pour apprendre à relativiser, et que même en étant solidaire à une théorie, je te cite Ibn Roch, dans une des meilleures assertions à mon sens, parlant de la révélation, alors qu’il était « le juge » : « …et si la révélation recommande bien aux hommes de réfléchir sur les étants et les y encourage, alors il est évident que l’activité désignée sous ce nom [de philosophie] est, en vertu de la Loi révélée, soit obligatoire, soit recommandée ».

    PS : Pour tes propos, indignes, envers ma personne, j’en passe. Laysmeh lina kamline wekhlass!

  23. @Ali baba; je suis navré de t’apprendre que c’est un feuilleton sans fin…il continue toujours ailleurs… dans d’autres espaces, mais sans moi !

    @Nobo; ce débat ne te concerne en rien… tu as beau capter des mots, des noms célèbres… tu n’y comprend que dalle ! il n’est donc pas nécessaire de faire étalage de quelques idées hors sujet pour dire que tu y est ! tu n’y es pas du tout ! alors du vent …en ce qui me concerne !…

    @Mounir; je te rassure je ne suis pas méchant de nature, mais c’est pas la peine de faire étalage ou s’infliger ce vocable en parlant de  »grille d’analyse Marxiste », comme il n’etait pas nécessaire que tu fasse ce retour en prophète prêchant la sagesse… je t’ai déjà dit que ce que je pense de la  »légèreté » avec laquelle tu te promène, tout en dispensant ta morale en matière de  »démocratite » ! plutôt affligeant à mon goût ! tu fais bien par ailleurs de dire que la révolution est un qq chose qui ne soit pas en rapport avec la réalité marocaine, puisqu’ il faudrait en inventer une qui soit culturelle ou psychologique… qui nous libère de nos complexes et de nos tares avant de prétendre à la démocratie… pour certains en tous cas !

    et ça ne veut pas dire que je te voue de la haine ou du mépris… ça veut dire que je ne suis pas intéréssé par discuter sur cette base… tant et aussi longtemps que l’on simulera cet idéal incarné dans le narcissisme de certains, et c’est mon droit, et comme tu as dit, allah yessmeh lina wekhlass !

    en réaction au propos de IK, je n’ai parlé de révolution que pour dire que c’est le peuple qui est censé la faire et non les intellectuels ou les  »bourgeois » … le peuple ne l’a pas fait chez nous, pendant le règne de Hassan II et à sa mort, parcequ’il estime sans doute qu’elle n’a pas lieu d’être, il a ses raisons de le croire, et c’est lui qui aura le fin mot ! j’admet que c’est pas facilement  »ingurgitable » par les nombreux  »socio-démocrates » de la blogoma qui passent leur temps à  »socio-démocratiser » ou sociabiliser avec eux mêmes remettant sur la table encore une fois ce narcissisme qu’un peuple loin d’être con au maroc ne connaît que trop bien les symptômes comme l’incurabilité ! 🙂

    Par ailleurs la critique du concept de révolution bourgeoise est un thème pas si compliqué, ni inconnu pourtant, comme il ne fait nullement référence à Marx en personne, mais aux marxistes et aux républicains révolutionnaires… tous les deux ayant largement placé la bourgeoisie au coeur du processus révolutionnaire lui attribuant tous les  »mérites », tout en qualifiant le peuple de suiveur ou de violent. lire l’historien François Furet sur la révolution française, ou F. Gauthier sur la critique du concept de révolution bourgeoise…etc et dont je n’ai lu que des passages ça et là sur des supports littéraires…etc le sujet est clos ici… je ne prétend pas être agrégé ou honoris causa ( comme certains y sont presque parvenu sur la blogoma 🙂 )

    alors sur cette  »sociale démocratie’ en théorie, dont certains se revendiquent, on retiendra surtout l’obséssion de faire du Maroc un pays dont toutes les initiatives sont vouées à l’echec, tant il n’y aura pas un cadre  »idéal’, pour l’exercice de la citoyenneté… ! et donc et par conséquent, il ne peut exister de citoyenneté… sauf celle de  »dénoncer » et vouer sa vie à cette  »cause »…. pour ne rien cacher, je suspecte certains  »socio-démocrates’, de chez nous, en plus de souffrir de nombreux complexes, de vivre aussi un manque flagrant d’affection… ! si ce n’est d’affection sexuelle carrément, cette dernière ayant de nombreuses vertus sur le psychique et l’intellect… et dont certains semblent en être totalement dépouvus !

    comme quoi, les grands déséquilibres  »déstructurants’, ne sont pas toujours ceux qu’on croit ! 🙂

    avec mes respects !

  24. Mon petit Ibn Rochd, tu m’amuses beaucoup, tu seras mon délassement pour les vacances, tu en as de la chance !

    Tu es un produit typique de ce que fait le « Maghzen » de pire, je veux dire en cela que tu en résumes toutes les tares.

    1. Un analphabétisme maquillé par un fort-en-gueulisme qui n’abuse que les sots : il n’est qu’à te lire pour s’apercevoir que tu n’as ni syntaxe, ni orthographe, ni style, ni un début science… Tu représentes le néant absolu que produit, pour le malheur du Maroc, « l’Eduction nationale marocaine » !
    2. Une servilité à toute épreuve vis-à-vis de ses maîtres, un amour infini pour la servitude et l’aliénation…
    3. Une incompréhension et une haine pathologique vis-à-vis de tout ce qui ne lui ressemble pas, qui peut prendre la forme d’une volonté de «meurtre symbolique », en attendant mieux probablement..
    4. Une prétention éléphantesque où le grotesque dispute au pitoyable, tant tu es plus que nécessiteux en tout… Ton ton péremptoire et tes propos définitifs , tu n’imagines pas à quel point, ils sont risibles…

    Finalement tu es un grand comique, un comique de la stature d’un Louis de Funes, le seul problème c’est qu’à ce stade, tu n’en as aucune conscience, il s’agit de comique involontaire… Encore un petit effort, mon philosophe de pacotille, et tu pourras être toi-même !

  25. dis donc le nabot, tant de choses qui te restent à travers la gorge…. même si jusqu’à date personne ici ou ailleurs n’a pu encore constater  »ta syntaxe, ton orthographe ou ton style d’académicien…! » ! encore moin tes idées  »sublîmes » ou ton  »courage » de militant anti makhzen, je te fais deux confidences comiques puisque tu aime tant te marrer ;

    la première tient au fait que ce Makhzen dont tu m’accable et pas que moi et tu ne sais faire que ça, j’aimerais tant te voir lui tenir tête, toi et tes copains des cercles intellectuels et politiques élevées dont tu te réclame ! mais là encore, rien ! que du texte et de la frime derrière un pseudo ! chkoun nta ? si tu veux convaincre quiconque ici, tu es cordialement invité à nous faire connaître ta personne, ton parcours, tes réalisations, tes diplômes, ton affiliation académique et scientifique, et ma foi, le projet que tu as pour le Maroc !

    la seconde étant une conséquence de la première, qui dans le cas ou tu ne t’exécute pas, on saura sans aucun doute que ta valeur résiduelle se calcule par l’addition de ton vécu merdique à tes perspectives nulles, divisé par la somme des phrases sordides au propos inachevé que tu laisse en guise de commentaire. la variable morphologique qui en découle nous renseigne sur le genre de bonhomme frustré, exclus et dithyrambique qui en parfait connard peine beaucoup pour convaincre ou se faire une place en société !

    et puis ou as tu vu de la servilité dans mes propos… ou c’est juste parceque je n’ai aucun mal à déconstruire la propagande d’un poux dans ton genre ! pourquoi cherche tu à chauffer les autres, si toi même tu es incapable de mener une contestation de front et te faire connaître ?! que gagne tu à vomir ta haine dans l’anonymat le plus total ? une notoriété chez IK ?!! et encore si tu nous apprenait qq chose ou tu arrive à aligner des arguments ! makayen rir el hedra !

    et si l’envie te reprend qu’on remmette ça, c’est quand tu veux nabot ! mais ne compte pas sur moi pour te donner des arguments pour descendre ton pays qui avance malgré que tu sois resté sur la touche sinon sur la paille !

    sans rancune !

    @ IK, tiens et en parlant d’arguments, en jettant un coup d’oeil sur ce fameux classement IDH du Pnud, que certains n’ont pas arrêté d’utiliser pour blâmer la monarchie, eh bien il ressort du même classement ou figure le maroc en 126ème position; qu’un pays comme le chili en 40ème place, Cuba en 51ème, la lybie en 56ème place, devant l’arabie saoudite en 61ème place ou la chine en 81ème place, ou encore la turquie en 84ème place ou l’inde en 128ème place !!

    ainsi on apprend sur wikipedia qui donne la formule de calcul de cet indice; qu’il est tout relatif et possède naturellement des limites… celle par exemple qu’il s’appuie sur des moyennes et ignore complètement la répartition ou les inégalités… pas étonnant que l’île de Tonga y soit représentée en 55ème position alors que l’iran ( que certain prenent pour le Japon musulman ) détient la 94ème place ! ça pas loin d’être du n’importe quoi ! en tous cas quant largement utilisé pour blâmer la monarchie… et tout en passant le silence sur les chiffres positifs ! je pense d’ailleurs que Aboubakr el Jamai est celui qui soit derrière cette tempête dans un verre !

    un critère on ne peut plus subjectif, inapproprié et déplacé pour juger du bilan de règne, mais que certains ne jurent que par la honte qu’il leur inspire ! ça donne une idée sur le raisonnement et la précipitation de cette critique  »objective » zaama qui veut nous convaincre pouvoir tenir tête au Makhzen… ma foi si j’étais le Makhzen, et devant tant d’amateurisme, cela ne servira qu’a me donner plus de légitimité et de consistance !

  26. Ah non, chui pas d’accord !! De Funes avait du genie, du talent. Ibn Roshd s’est contente de naitre. Chui vraiment pas d’accord !

  27. Je rectifie : ce billet devient une véritable guerre des tranchées !

    A quand l’armistice !

  28. Mon Pokémon « maghzeniste » m’a répondu, youppie !

    Et il tient une de ses formes…

    Goûtez moi ça : « on saura sans aucun doute que ta valeur résiduelle se calcule par l’addition de ton vécu merdique à tes perspectives nulles, divisé par la somme des phrases sordides au propos inachevé que tu laisse en guise de commentaire. la variable morphologique qui en découle nous renseigne sur le genre de bonhomme frustré, exclus et dithyrambique qui en parfait connard peine beaucoup pour convaincre ou se faire une place en société ! »

    Serait-ce du Proust ? Du Mallarmé ? vous n’y êtes pas, c’est du Ibn Rochd… Plus ampoulé, plus lourdingue, plus toc, tu meurs ! Je le fais chevalier de la « grande ampoule » !

    Reconnaissons lui une « cohérence » orthographique tout de même: l’absence de « s » systématique pour conjuguer un verbe à la deuxième personne du singulier de l’indicatif présent, bravo I.R. !

    Quant au fond , après lecture et relecture, jusqu’ici je n’ai rien trouvé… Walou… Zéro + zéro = la tête de charlot ! Si ce n’est, à lire les posts précédents, une connaissance synthétique de Marx (en ses oeuvres complètes!) durement acquise par la lecture assidue de « Pif le chien »…

    Continue à nous faire rire, I.R, mon Pokémon maghzeniste préféré, ne change rien, nous t’aimons beaucoup…

  29. @Nabot, tu fais pitié ducon ! par ailleurs, on ne dit pas maghzen mais makhzen, ni maghzéniste mais makhzénien ! 🙂 c’est la énième fois que tu commets cette erreur  »culturelle » qu’aucun marocain, ni un quelconque  »nasrani » qui s’intéresse à la politique au maroc, ne commet ! si t’es pas marocain, chose que personne ici ne te reprochera, tu devrais démontrer un peu de respect ou de retenue par rapport à un sujet qui visiblement tu ne connais pas du tout ! rien à cirer que ta voisine, ou ton beau frère ( ayant conclu un mariage pour les papiers ) le soient ! ça ne te donne nullement le droit de t’immiscer dans qq chose que tu prétends connaître mais que tu ne connais pas !
    sinon, on sait bien que la vie est dure en général, et qu’il faille s’accrocher à son clavier Azerty en ce qui te concerne, pour tuer le temps, et passer ces vacances entre quatre murs, n’ayant pour seul perspective, que sa voisine dépressive qui en soit à sa quatrième tentative de suicide !

    je te préviens, si tu continue, je te répondrais en arabe ! alors va en paix qui traduit en darija donne exactement ceci; allah yen3el tasseltek ! 🙂

    sache seulement que les marocains bezzaf 3lik et t’as qu’à te démerder pour trouver le dictionnaire qui t’en donne la bonne traduction ! Adieu Nabot !

    @Ik, t’aurais pu intervenir, changer le cours de cette discussion, en demandant à ce nabot de mes deux de dire qq chose de sensé ou de zapper !
    comme t’aurais pu reprendre la discussion au point du Pnud que j’ai soulevé et nous dire ce que t’en pense ! je continue d’espérer que toi ou un autre commentateur puissiez nous extirper du trou que ce nabot trouve trop étroit pour contenir indéfiniment
    sa misérable prose ! ou sa joie d’imbécile heureux
    d’avoir peut-être lu Marx, et penser détenir la science infuse au point qu’il suffise de laisser des commentaires pathétiques ça et là et croire qu’on doive le prendre pour l’héritier de Jaurès ! ou alors mieux vaut fermer les commentaires une bonne fois pour toutes !

  30. Vraiment superbe, cela m’a fait penser au 10 juin 2000, quand je me trouvais dans les rues de Damas alors que l’on venait d’annoncer la mort de Hafez Assad. Tellement de similarités entre les deux situations, tellement de réactions stupéfiantes.

    Very happy to have discovered your blog.

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